Hubert Auriol: „To, co robi Peterhansel, zawsze robi na mnie wrażenie”

Le Dakar est bien une épreuve qu’Hubert Auriola connait « par coeur » pour l’avoir remportée à deux reprises en moto dans les années 80, avant de passer sur quatre roues et s’imposer en 1992 avec Mitsubishi.

Passé ensuite du côté de l’organisation, Hubert Auriol a quitté ASO en 2004 après avoir notamment impulsé des changements de réglementation dans les années 90 pour limiter la puissance de frappe des grands constructeurs face aux équipages privés.

Alors que son autobiographie doit paraître fin janvier, le Français reste un spectateur attentif du mythique rallye-raid qui s’élancera demain au Pérou. « Je ne rate pas une seule retransmission télévisée, nous confiait Hubert Auriol dans notre dernier Carpooling.

Je regrette un peu qu’à part Toyota, seul constructeur à viser le marché des 4×4, ce soit devenu une course de préparateurs et de sponsors. La guerre des cigarettiers a été remplacée par celle des boissons énergisantes.

Et les budgets en auto sont en pleine inflation. Il n’y a qu’en moto que les coûts restent encore plus ou moins abordables, grâce aux machines « compétition-clients » disponibles pour tous. »

Auriol confesse également avoir une admiration toute particulière pour un pilote, devenu au fil des années recordman des victoires, toutes catégories confondues, sur le Dakar, et ayant réalisé comme lui, le passage de deux à quatre roues.

« Stéphane Peterhansel et Nani Roma m’ont rejoint dans le club très sélect des vainqueurs motos et autos du Dakar. Donc j’ai un peu plus d’affection pour eux. Ce que fait Peterhansel, face aux monstres sacrés du rallye, Loeb et Sainz, m’impressionne toujours, ainsi que sa motivation qui ne faiblit jamais. »

Découvrez notre Covoiturage dans sa version intégrale, ainsi que notre Guide du Dakar 2019, dans le n°2197 d’AUTOtygodniowo, zawsze dostępne w wersji cyfrowej i w kioskach.