Początki w F1 stanowi krok, którego nie należy lekceważyć. Nawet wtedy, gdy do siebie dzwonimy Yuki tsunoda, que l’on possède de façon innée un joli coup de volant et ce petit brin de folie qui permet, de coutume, de rendre l’impossible réalisable. Le Japonais l’a appris à ses dépens en 2021. Gargarisé par son meilleur temps aux essais hivernaux de Bahreïn et par un très solide premier Grand Prix, toujours à Sakhir, terminé dans les points (9e), le Japonais s’attendait à vivre une acclimatation tranquille à la discipline reine. La gifle n’en a été que plus violente, et le Nippon a mis toute l’année pour s’en remettre. Très vite, les choses se sont en effet gâtées pour lui. Comment aurait-il pu en être autrement ? Alors installé en Europe depuis deux ans seulement, avec le choc culturel que cela implique, Yuki Tsunoda n’a pas eu autant de temps que les autres
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